Le 18 mai, le mouvement public « Front de la sécurité et du développement de l’Artsakh » est né à Stepanakert.

Ruben Vardanian, co-fondateur de l’agence territoriale « Nous sommes nos montagnes », ancien ministre d’État d’Artsakh, a déclaré à ce propos que leur première démarche est de se regarder les yeux dans les yeux pour parler du passé, puis de s’unir autour d’une idée et d’un objectif, mettant de côté les intérêts partisans, personnels et autres.

« Nous ferons tout pour rendre l’Artsakh sûr, heureux et indépendant. Il est très important de pouvoir se dire que nous sommes prêts à tout faire, à prendre nos responsabilités, à aller jusqu’au bout », a-t-il dit, exprimant l’espoir que nombreses personnes rejoindront le mouvement.

« Le fait qu’Artsakh reste arménien n’est pas seulement le problème du peuple d’Artsakh, mais aussi de toute la communauté arménienne. Je suis sûr que le front ne fonctionnera pas seulement en Artsakh. Et enfin, je tiens à dire que le potentiel des jeunes sera important dans cette démarche », a souligné Vardanian.