Artyom Tonoyan, professeur d’études iraniennes à l’Université d’État d’Erevan, déclare dans son message sur sa page Facebook :
« Quel est le sens d’accorder une interview à une journaliste qui, avant vous, avait eu un entretien avec le président de l’Azerbaïdjan dans la ville de Chouchi et qui était également présente à un événement dans la même ville avec un groupe de journalistes et d’experts ?
L’interview et en général l’accueil et l’entrée de cette journaliste en Arménie auraient dû être interdits, ne serait-ce que pour la raison qu’elle s’est rendue à Chouchi arménienne et où elle s’est engoufrée le gueuleton et le vin offerts par le bourreau du peuple arménien, qui à seulement quelques centaines de mètres de là est en train de dépérir dans une crise humanitaire.
Est-ce que l’interdiction d’entrée en Arménie ne s’appliquerait qu’aux Arméniens ?”
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