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Outre le Président Macron, de nombreux autres dirigeants mondiaux seront absents à la COP29

Nous nous nous sommes déjà fait l’écho de la non-participation du Président Macron au Sommet de la COP29 qui se tiendra les 12 et 13 novembre à Bakou dans le cadre de la conférence sur le climat de l’ONU qui aura lieu dans la capitale azerbaïdjanaise du 11 au 22 novembre. La France sera représentée à la conférence par la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher.

À cette conférence seront absents de nombreux autres dirigeants mondiaux, comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, celle qui avait qualifié l’Azerbaïdjan de partenaire fiable !!! Selon Euronews,  l’UE sera représentée par le président du Conseil européen, Charles Michel, le commissaire désigné au Climat, à la Neutralité carbone et à la Croissance propre, Wopke Hoekstra, et la commissaire à l’énergie, Kadri Simson.

Samedi 9 novembre, le Premier ministre néerlandais, Dick Schoof, a fait savoir qu’il annulait son déplacement à la COP29 de Bakou pour se concentrer sur la gestion des problèmes internes : les violentes attaques contre des supporters israéliens aux Pays-Bas ayant secoué son pays.

Le roi Charles ne participera pas non plus au sommet, le gouvernement britannique ayant décidé de ne pas l’élire comme représentant alors qu’il poursuit sa convalescence après un cancer.

Le président russe Vladimir Poutine ne se rendra pas à la conférence des Nations unies sur le climat chez son voisin du sud, et la délégation russe à la COP29 sera dirigée par le Premier ministre Mikhaïl Mishustin.

Le premier ministre canadien Justin Trudeau, le premier ministre indien Narendra Modi, le président chinois Xi Jinping, le sud-africain Cyril Ramaphosa et le premier ministre australien Anthony Albanese manqueront également la conférence sur le climat de cette année.

Nous pouvons ajouter à cette longue liste les noms de Jo Biden qu’on dit « accaparé par les affaires internes », celui du chancelier allemand Olaf Scholz – confronté, lui aussi, à une crise politique interne grave, au point de se dire prêt à un vote de confiance avant Noël – ou encore celui du président du Brésil Lula.