ARMÉNIE – Cérémonie d’ouverture du 12e camp panarménien des unions de jeunesse et d’étudiants FRA

Le 15 juillet, à Erevan, près du monument de Nemesis, a eu lieu la cérémonie officielle d’ouverture du 12e camp panarménien des unions de jeunesse et d’étudiants FRA, auquel participent 400 jeunes de 17 pays. Le slogan de cette année est : « Nous reviendrons ».

Étaient présents à la cérémonie des responsables du FRA, des députés de l’Assemblée nationale.

Ont pris la parole : Hovsep Der-Kevorkian, membre du Bureau FRA de France, Ichkhan Saghatelian, représentant de l’Organe suprême d’Arménie, Mher Karakachian, responsable du camp panarménien, et Jor Avdalian, représentant de l’Union de jeunesse d’Arménie.

« Malgré le fait que l’arménité soit actuellement divisée et qu’on travaille à éloigner l’Arménie de la diaspora, par ce camp panarménien, la jeunesse FRA donne l’exemple d’une unité panarménienne, et la participation massive de jeunes de la diaspora renforce le lien Arménie-Diaspora. Malgré le fait qu’une partie importante du peuple arménien soit désespérée et moralement abattue, ce camp unit la jeunesse combattante du FRA ; regardez dans leurs yeux, vous y verrez l’audace, l’esprit de lutte ardent et la volonté de victoire.

Malgré le fait que la jeunesse dachnak soit devenue la cible de nos ennemis et des autorités de notre pays qui leur obéissent, des centaines de jeunes dachnaks sont venus de différents coins du monde en patrie pour soutenir leurs camarades. Bien qu’on essaie de présenter la jeunesse FRA comme une organisation « terroriste », notre activité prouve que la jeunesse dachnak cherche à réaliser ses visions par des programmes innovants et progressistes. En même temps, nous restons attachés à nos fondements idéologiques, notamment au caractère national et révolutionnaire », a noté Der-Kevorkian dans son discours.

Quant à Mher Karakachian, il a souligné : « La FRA Dachnaktsoutioun n’a pas perdu sa détermination durant ses 135 ans d’histoire, c’est pourquoi elle est devenue une force de premier plan dans la lutte pour les droits du peuple arménien. Nous devons réaliser le concept d’une vraie Arménie, je souligne : d’une vraie Arménie, réelle, et non pas l’idée d’une démocratie dénaturée. »

Après la cérémonie d’ouverture, les participants se sont dirigés en cortège vers la statue d’Aram Manoukian, fondateur de la Première République d’Arménie, où des fleurs ont été déposées en l’honneur de sa mémoire.