Lors de la session de haut niveau du 23 septembre de l’Assemblée générale de l’ONU (22-29 septembre), le président turc Recep Tayyip Erdogan a fait dans son discours plusieurs déclarations acerbes et remarquables concernant les conflits régnant dans le monde, les crises humanitaires et le système de gouvernance globale.
L’axe de son discours était constitué par l’urgence de la reconnaissance de l’État palestinien, la critique sévère des actions d’Israël, mais aussi l’évocation des processus en cours dans le Caucase du Sud, y compris dans les relations arméno-turques.
Erdogan a déclaré que la normalisation des relations Turquie-Arménie se déroule comme prévu.
Dans son discours, il a également évoqué les relations Erevan-Bakou, soulignant qu’Ankara a soutenu dès le début les efforts de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie. Il a jugé importants les accords conclus le 8 août à Washington, les considérant comme un pas vers une paix durable.
Il a félicité Aliev, Pachinian et Trump pour leur contribution au processus.