La détention de Bagrat Galstanian, ancien primat du diocèse de Tavush, emprisonné depuis cinq mois sous l’accusation de terrorisme, a été prolongée de trois mois supplémentaires.
Malgré les affirmations du haut-dignitaire ecclésiastique et de ses avocats, selon lesquelles les accusations portées contre lui et plus d’une douzaine d’autres personnes arrêtées le même jour sont « fabriquées » et qu’il n’existe aucun motif de les maintenir en détention, le procureur a soutenu qu’en liberté, il pourrait entraver l’enquête ou s’y soustraire.
Le juge a jugé la demande de l’accusation fondée et a maintenu la mesure de contrainte à son encontre.