Dans le cadre d’un mémorandum tripartite signé entre la Banque Centrale d’Arménie, l’Union des Banques d’Arménie et l’organisation non gouvernementale « My Forest Armenia », la « Fast Bank » a alloué 12 250 000 drams au projet de reforestation dans la région de Lori. Grâce au financement de la banque, 16 667 arbres seront plantés sur une superficie de 5,55 hectares.
Parallèlement à ses nombreux programmes sociaux, éducatifs et culturels, la banque accorde une priorité à la résolution des problèmes environnementaux de l’Arménie, considérant la protection de la nature, la lutte contre la désertification et la pollution de l’air comme des défis majeurs exigeant aujourd’hui des solutions urgentes. La banque a déjà soutenu par diverses initiatives des programmes environnementaux et, par cet investissement, elle contribuera également à l’expansion des espaces verts.
La reforestation sera mise en œuvre par l’organisation « My Forest Armenia ». Il est prévu d’établir 100 hectares de nouvelle forêt au cours des trois prochaines années sur les terres de la localité de Lernajour, dans la communauté de Pambak (région de Lori). Au total, 300 000 arbres d’espèces forestières locales seront plantés. À l’issue du projet, les terres communautaires et l’écosystème forestier qui s’y sera formé seront restitués à la communauté, et la forêt deviendra sa propriété. Pour la réalisation de ce reboisement, une somme totale de 250 millions de drams sera dépensée conjointement.
Le fondateur et directeur de l’ONG « My Forest Armenia », André Gumuchdjian, a souligné que la création de nouvelles forêts est un investissement à long terme, essentiel pour le développement économique durable du pays. Le président de la Banque Centrale d’Arménie, Martin Galstian, a quant à lui noté : « Je suis convaincu que ce travail sera continu et que nos efforts conjoints façonneront l’Arménie que nous avons le devoir de léguer aux générations futures. »
La mise en œuvre du projet contribuera à la réduction de la pollution de l’air, à la préservation des ressources en eau, à la lutte contre l’érosion des sols et la désertification, ainsi qu’à la création d’opportunités de développement durable et vert au sein des communautés.