“Nous avons ouvert notre porte pour que tout le monde puisse participer à des discussions constructives et fructueuses. Notre porte reste ouverte.”
Lola Vallejo, experte française de l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI) présente à Bakou, craint que l’absence de la France au niveau ministériel l’empêche de peser sur le compromis final, indique Sud Ouest.
“Quand un ministre est là, sa voix est plus écoutée”, dit Vallejo. “C’est la première fois que la France n’a ni un chef de gouvernement, ni de représentation ministérielle.”