La Fondation « Centre pour le droit et la justice Tatoyan » tire la sonnette d’alarme :
« Poursuivant leurs falsifications, à présent ce sont Saghmosavank et Noravank qui apparaissent dans le plan de l’occupation de l’Arménie poursuivi par les autorités azerbaïdjanaises.
Selon ces mensonges, Saghmosavank fait partie du patrimoine culturel azerbaïdjanais et est situé dans le soi-disant village turco-kiptchak de Saghmosavank dans « l’Azerbaïdjan occidental », et le complexe monastique est albanien. Car les Arméniens y seraient amenés pour la première fois en 1828-1830.
Selon cette fausse thèse, Noravank serait également albanien et appartiendrait à l’Azerbaïdjan et que soi-disant seuls les Azerbaïdjanais auraient vécu dans ce village jusqu’en 1988.
La partie azerbaïdjanaise poursuit ce déluge de falsifications au plus haut niveau, sans ménager ses moyens. Il ne faut pas permettre la propagation de tels mensonges, parallèlement auxquels les autorités de Bakou se préparent manifestement à commettre de nouvelles attaques contre l’Arménie. En réalité, les autorités azerbaïdjanaises n’ont aucune intention de paix et on ne doit donc pas leur laisser la possibilité de dicter leur faux programme. »
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