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FAST présente la stratégie avancée de l’Arménie en éducation sur l’IA à l’UNESCO à Paris

Paris, France – 4 septembre 2024

Le 2 septembre, la Fondation pour la Science et la Technologie Arméniennes (FAST) a officiellement présenté l’expérience de l’Arménie dans l’intégration de l’enseignement avancé de l’IA dans les écoles publiques, lors de la Semaine de l’apprentissage numérique au siège de l’UNESCO à Paris, l’événement phare annuel sur l’apprentissage et la transformation numériques de l’éducation.

Ce rassemblement mondial a réuni des experts de gouvernements, d’institutions de recherche telles que l’Université de Harvard et le Massachusetts Institute of Technology, ainsi que des ministres de l’Éducation de différents pays, pour discuter des diverses manières dont le monde cherche à intégrer l’IA dans l’éducation et à promouvoir l’enseignement de l’IA, tant au niveau national qu’à travers les leaders de l’industrie.

Dans sa présentation, Suzanna Shamakhyan a présenté le projet Génération IA au lycée, un programme national éducatif lancé en Arménie par FAST en collaboration avec le ministère de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports de la République d’Arménie.

Elle a également partagé avec cette communauté internationale d’éducateurs et de décideurs politiques le solide cadre de partenariat public-privé qui garantit la durabilité et la croissance exponentielle du programme à l’échelle nationale.

« Nous participons au dialogue mondial sur la transformation numérique dans le domaine de l’éducation et l’éducation en IA depuis plus de six ans maintenant. Aujourd’hui, nous sommes fiers de constater que notre vision ciblant à étendre les programmes qui forment les futurs créateurs d’IA, les préparant à diriger l’avenir de la technologie plutôt que simplement à éduquer une jeunesse instruite en IA, fait désormais partie de l’agenda mondial. Le programme Génération IA démontre que l’Arménie est à l’avant-garde de l’élaboration de programmes scolaires avancés en IA et qu’elle a un fort potentiel pour diriger l’innovation dans l’éducation”, a déclaré Suzanna Shamakhyan, vice-présidente de la programmation stratégique à la Fondation pour la Science et la Technologie Arméniennes.

« La Délégation permanente de l’Arménie auprès de l’UNESCO considère cela comme une opportunité importante de partager les avancées de l’Arménie dans l’éducation en IA et de se positionner en tant que partenaire de connaissance dans les discussions internationales en cours qui façonnent l’avenir de l’apprentissage”, a déclaré Aram Hakobyan, Délégué permanent de la République d’Arménie auprès de l’UNESCO.


FAST vise à inspirer d’autres nations à adopter des approches innovantes en matière d’éducation et à créer des collaborations mondiales, en accord avec la mission de l’UNESCO de promouvoir l’éducation, la science et la culture pour un avenir durable.

À PROPOS DE FAST ET DU PROJET GÉNÉRATION IA AU LYCÉE

Fondée en 2017, la Fondation pour la Science et la Technologie Arméniennes (FAST) est une organisation à but non lucratif dédiée à l’avancement de la science et de la technologie en Arménie. En se concentrant sur les piliers fondamentaux de l’éducation, de la recherche et de la commercialisation, FAST développe et pilote des programmes susceptibles d’avoir un impact durable à long terme sur l’écosystème de la science, de la technologie et de l’innovation en Arménie. À ce jour, la fondation a mis en œuvre 26 programmes ayant un impact sur plus de 15 000 bénéficiaires.

Le projet Génération IA au lycée est un programme éducatif multidimensionnel mis en œuvre par FAST en partenariat avec le ministère de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports de la République d’Arménie et des partenaires industriels. Le programme vise à créer un parcours éducatif et professionnel pour les chercheurs et innovateurs en intelligence artificielle, en commençant dès l’arrivée au lycée. Le programme Génération IA est appliqué dans sept régions et 15 écoles à travers l’Arménie, impliquant environ 500 élèves. Il est prévu que le programme soit accessible à plus de 80 % des élèves des écoles publiques d’ici 2026.

Suzanna Shamakhyan