Le 7 juin, le porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Aykhan Hadjizade a déclaré qu’ « aujourd’hui, le principal problème réside dans les revendications territoriales persistantes contre l’Azerbaïdjan, qui sont inscrites dans de nombreux documents juridiques et politiques de l’Arménie, et en particulier dans la Constitution, où il y a une référence directe à l’appel à “rattacher le Haut-Karabakh à l’Arménie”. »

Il a affirmé que l’exclusion de « ces ambitions » de la Constitution constitue une « exigence légitime » de Bakou. Selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l’Azerbaïdjan, l’Arménie n’est pas intéressée par la paix stable et cherche à maintenir la situation actuelle uniquement comme une option de secours afin de « reprendre l’attaque contre l’Azerbaïdjan » à l’avenir.