Ils estiment que le régime autoritaire de l’Azerbaïdjan, les violations des droits de l’homme et les récentes actions contre l’Arménie rendent ce pays inapte à accueillir une conférence mondiale sur le climat.
Les maires soulignent que l’action environnementale ne doit pas se faire au détriment des droits fondamentaux et exhortent les voix progressistes à rejeter ce qu’ils considèrent comme une “mascarade grossière”.
“En Azerbaïdjan comme ailleurs, l’absence d’État de droit et le caractère répressif et belliqueux du régime devraient ainsi disqualifier l’accueil de telles manifestations internationales sur le territoire”, déclarent les maires.
Source: La Croix