La ministre arménienne de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports (ESCS), Janna Andreassian, a reçu le 28 juillet l’ambassadeur de France Olivier Decottignies. Le vice-ministre des ESCS Arthur Martirossian a également participé à cette rencontre.

Mme Andreassian a souligné les relations amicales et historiquement étroites entre l’Arménie et la France, réaffirmant la volonté d’élargir et de renforcer la coopération des deux pays dans les domaines de l’éducation, des sciences, de la culture, de la jeunesse et du sport.

Évoquant les programmes menés conjointement, la ministre a fait référence au projet « Le français langue étrangère : formation continue, modernisation et promotion » organisé pour les enseignants de français en Arménie avec la collaboration de l’ambassade de France, dans le cadre duquel environ 240 enseignants ont participé aux sessions de formation continue.

Les parties ont également discuté de la coopération dans le domaine culturel, notamment de l’exposition organisée au centre culturel de Barbizon, où sont présentées des œuvres de grande valeur représentant l’impressionnisme arménien, issues de la collection de la Galerie nationale d’Arménie.

Les questions organisationnelles concernant l’exposition commune avec le musée du Louvre au Musée d’Histoire d’Arménie en septembre 2025 ont aussi été abordées. Il est prévu de transférer du Louvre vers l’Arménie plus d’une dizaine d’œuvres prestigieuses, en respectant toutes les normes de sécurité.

L’ambassadeur Decottignies a indiqué qu’une coopération dynamique, mutuellement bénéfique et fructueuse s’est déjà établie entre l’Arménie et la France, fondée sur la confiance mutuelle. Il a réaffirmé la disposition de la France à continuer d’investir des efforts dans le renforcement de la coopération et la mise en œuvre de nouvelles initiatives au profit des deux peuples.

La rencontre a également abordé d’autres questions d’intérêt bilatéral, notamment les activités de l’Université française en Arménie, du complexe éducatif Anatole France, ainsi que l’enseignement du français comme langue étrangère dans les écoles publiques arméniennes.