Un député azéri menace l’Arménie de « mesures extrêmes » au sujet du corridor de Zanguezour

Les déclarations menaçantes se poursuivent en Azerbaïdjan à l’encontre de l’Arménie. Le député au parlement azéri, Qudrat Hasanguliyev, a averti que Bakou pourrait recourir à des « mesures extrêmes » si l’Arménie n’ouvrait pas le dénommé « corridor de Zanguezour ».

Dans une interview, se référant au sort dudit « Corridor »,  M. Hasanguliyev, faisant allusion au dudit « Corridor » a suggéré que l’Azerbaïdjan devrait mener des négociations sérieuses avec la Turquie, la Russie et les États-Unis, en « contournant la situation politique interne de l’Arménie ».

Selon lui, si la partie arménienne ne prend pas de décision « opérationnelle », l’Azerbaïdjan sera « contraint de nettoyer par la force le territoire du corridor (faisant allusion à la région arménienne du Syunik), avant de le remettre sous le contrôle de la Russie ou de l’ONU avec des garanties strictes », en vertu des accords du 10 novembre 2020 ou du 8 août 2025.

Éditorial